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~ Le Chant de la Vie ~
*Partition IG*Alors que s'érige l'arbre ancien,
Père du monde sauvage,
Guide de leurs gardiens.
Se transmettent ses adages,
Quelque soit le langage,
Des sages qui sous la lune clament leurs prières,
Au Chêne Père.
Et c'est à la faveur de leurs murmures,
Glissant et soupirant sous les ramures,
Que la dame des forêts chuchote la mesure,
D'une bonté, gardienne de toute vie.
Et pour tout ceux qui protègent son harmonie,
Elle est la reine comme elle est l'amie.
Et en marchant dans ses pas ses compagnons,
Ses héros, portent le bien au diapason.
Puisse le chant de la vie s'élever à l'unisson, (Unisson/Crescendo)
S’engouffrer au travers des frondaisons,
S'abreuver de chaque reflet de la forêt,
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Adagio)
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Diminuendo)
Et quand nous émerveille son sourire,
Pour nous gonfler d'espoir en l'avenir,
La fille de Seluné ravie et rassure.
Auprès d'elle, le rêve marque la mesure.
Et toutes les créatures enchantées,
Parcourent à ses cotés le bois sacré,
Licornes comme tout les êtres éveillés,
Sont ici, à jamais, ses protégées.
Puisse le chant de la vie s'élever à l'unisson, (Unisson/Crescendo)
S’engouffrer au travers des frondaisons,
S'abreuver de chaque reflet de la forêt,
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Adagio)
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Diminuendo)
Et c'est à l'aube de toutes les naissances,
Que la Grande Mère offre sa bienveillance.
Elle qui a fait de la terre nourricière,
Un berceau, de trésors et de mystères.
Sa chaleur est la source de toute vie,
Dans son giron chacun aura grandi,
Et dans les ventres chauds un doux renouveau,
Se tapisse dans son amour infini.
Puisse le chant de la vie s'élever à l'unisson, (Unisson/Crescendo)
S’engouffrer au travers des frondaisons,
S'abreuver de chaque reflet de la forêt,
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Adagio)
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Diminuendo)
C'est dans le doux fredonnement des rivières,
Que l'on entends vibrer le tendre échos,
D'une dame de paix et de lumière,
Révélant sa douceur au fil de l'eau.
Elle est sœur d'une reine et fille d'un chêne,
Gardienne de ces instants privilégiés,
Où qu'importe les tourments qui nous assènent :
Auprès d'elle, tout redevient sérénité.
Puisse le chant de la vie s'élever à l'unisson, (Unisson/Crescendo)
S’engouffrer au travers des frondaisons,
S'abreuver de chaque reflet de la forêt,
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Adagio)
Jusqu'au cœur tendre des dryades se glisser(Diminuendo)